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  • : OrthoPrep, préparation au concours d'orthophoniste
  • : Préparer le concours d'entrée en orthophonie n'est pas chose facile ! Vous allez devoir faire appel à toute votre volonté et toutes vos capacités de travail pour atteindre votre objectif. Vous trouverez sur ce site de quoi nourrir votre préparation. Prêt à réussir le concours ? ... Bonne visite !
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27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 12:47

Les tests psychotechniques sont au programme de pas mal de concours (notamment Nantes, Lyon, Lille, Amiens, Nancy, Paris et qqs autres)

 

Au programme :

 

- l'aptitude numérique

- l'aptitude logique

- l'aptitude verbale

 

L'aptitude numérique :

 

- les pourcentages

- la proportionnalité

- les distances, vitesses, temps

- les débits

- les équations

- le calcul mental

- les racines

- les conversions

- les aires

- les volumes

- le dénombrement

- les puissances

- les échelles

- les ordres de grandeur

- la division euclidienne

 

L'aptitude logique :

 

- les suites numériques et alphabétiques

- les matrices

- les dominos et cartes à jouer

- les suites de symboles

- les ensembles et intrus

 

L'aptitude verbale :

 

- les anagrammes

- le voc, l'orthographe, la grammaire, la conjug

- la compréhension

 

A connaître :

 

- les tables de multiplication

- les unités et mesures

- les conversions

- les règles de calcul (identités remarquables)

- la différence entre synonyme/antonyme/paronyme/homonyme

- la conjugaison

- les différents types de séries graphiques (linéaire, alternative, circulaire)

- la suite de Fibonnaci

- le système des suites arithmétiques et géométriques

 

 

A méditer :

 

- on n'est pas obligé de faire des tas de calculs pour trouver la réponse à un problème de maths. Il est plus astucieux de tester les réponses, en commençant par celle du milieu ou la plus probable.

 

 

 

 

Petites règles de maths :

 

- appliquer un taux de poucentage p % à un nb x consiste à multiplier ce dernier par p/100
- augmenter un nombre de x % revient à le multiplier par (1 + x/100)

- diminuer un nombre de x % revient à le multiplier par (1 - x/100)

 

- x et y sont proportionnels s'il existe un nombre a tel que x = ay

- la règle de trois :  première grandeur :  a    b

                             deuxième grandeur :  c    d

d = (bxc)/a

 

- échelle = longueur sur le dessin / longueur réelle (attention, même unité)

 

- qd on agrandit une figure, les dimensions sont multipliées par un nb k, l'aire par k²

- pour un volume, les dimensions st multipliées par k, le volume par k^3

=> pour l'aire, la proportionnalité est double, pour le volume elle est triple.

 

1 dam = 10 m

1hm = 100 m

1km = 1000 m

1 m = 10 dm

1m = 100 cm

1 m = 1000mm

 

1 km² = 100 hm²

1hm² = 100 dam²

1 dam² = 100 m²

1 m² = 100 dm²

1 dm² = 100 cm²

1 cm² = 100 mm²

 

1a = 1 dam²

1 ha = 100 a

1 hm² = 10 000 mm²

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 12:56

Je vous scanne qqs exos que j'ai faits dans l'année ! Bon, ce n'est pas toujours très propre et les réponses sont écrites avec évidence, mais y jeter un coup d'oeil ne fera pas de mal...

 

FICHE 1

 

log-1.gif

 

FICHE 2

 

log-2.gif

 

 

FICHE 3

 

log-3.gif

 

 

FICHE 4

 

  log-4.gif

 

 

FICHE 5

 

log-5.gif

 

 

 

log-5b.gif

 

 

FICHE 6

 

  log-6.gif

 

 

FICHE 7

 

 

  log-7.gif

 

FICHE 8

 

 

log-8a.gif

 

log-8b.gif

 

log-8c.gif

 

FICHE 9

 

nacy-1a.gif

 

nacy 1b

 

FICHE 10

 

log-9.gif

 

FICHE 11

 

log-10.gif

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 12:51

FICHE 1

 

tests-2a.gif

 

tests-2b.gif

 

FICHE 2

 

calcul.gif

 

FICHE 3

 

maths-1a.gif

 

 maths-1b.gif

 

 

maths-1c.gif

 

 

FICHE 4

 

maths-2.gif

 

 

 FICHE 5 :

 

  arithm.gif

 

FICHE 6

 

pourcentages.gif

 

FICHE 7

 

maths-3a.gif

 

maths-3b.gif

 

 

 

FICHE 8

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 12:40

FICHE 1

 

 

tests-1a.gif

 

tests-1b.gif

 

tests-1c.gif

 

FICHE 2

 

prop.gif

 

prop-b.gif

 

prop-c.gif

 

FICHE 3

 

tests-2.gif

 

 FICHE 4

 

 

 

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 10:56

Voici un lien vers une synthèse :

 

http://www.eoiestepona.org/html/juan/grammaire/fiche_en_y_2/media/fiche_en-y.pdf

 

Le trait d'union avec en

Lorsque en est placé en début de phrase, il n'y a pas de trait d'union avec le verbe :

- en venant
- en marchant
- s'en aller

Par contre, lorsque le pronom en est placé juste après le verbe, on met un trait d'union entre le verbe et le pronom

- viens-en au fait
- vends-en un peu

Lorsque le verbe ne se termine pas par un s, on ajoute un s à la fin du verbe afin de tenir compte des sonorités. On dit qu'il s'agit d'une raison euphonique :

- donnes-en mais donne
- gardes-en un peu mais garde-les

À l'impératif avec le pronom personnel de la seconde personne (toi), le pronom se change en t' devant le en :

- va-t'en
- convaincs-t'en

 

Le trait d'union avec y

Avec le pronom y, on retrouve les mêmes règles qu'avec en.

- vas-y mais va
- rends-t'y
- allons-y
- nous y allons

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 10:54

Liste des principales locutions conjonctives de subordination :

 à condition de

 de même que

 pendant que

 afin que

 de peur que

 plutôt que

 ainsi que

 depuis que

 posé que

 alors que

 de sorte que

 pour que

 à mesure que

 dès que

 pourvu que

 à moins que

 en attendant que

 sans que

 après que

 en cas que

 sauf que

 à proportion que

 encore que

 selon que

 attendu que

 en sorte que

 si ce n'est que

 au cas où

 étant donné que

 si peu que

 au fur et à mesure que

 excepté que

 si tant est que

 au lieu que

 jusqu'à ce que

 soit que

 aussi bien que

 loin que

 sitôt que

 aussitôt que

 lors même que

 suivant que

 autant que

 maintenant que

 supposé que

 avant que

 malgré que

 tandis que

 bien que

 moins que

 tant que

 cependant que

 moyennant que

 vu que

 d'autant que

 non moins que

 quand même

 de ce que

 non plus que

 quand bien

 de crainte que

 outre que

 quand même

 de façon que

 parce que

 au cas où

 de manière que

 comme si

 si

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 10:53

Principales prépositions :

 à

 de

 excepté

 parmi

 selon

 après

 depuis

 hormis

 passé

 sous

 attendu

 derrière

 hors

 pendant

 suivant

 avant

 dès

 jusque

 plein

 supposé

 avec

 devant

 malgré

 pour

 sur

 chez

 durant

 moyennant

 près

 touchant

 concernant

 en

 nonobstant

 proche

 vers

 contre

 entre

 outre

 sans

 vu

 dans

 envers

 par

 Sauf

 

 

Principales locutions prépositives :

 à bas de

 à travers

 avant de

 en deçà de

 par dehors

 à cause de

 au bas de

 dans le but de

 en dedans de

 par-delà

 à côté de

 au-dedans de

 d'après

 en dehors de

 par-dessous

 à défaut de

 au défaut de

 d'avec

 en dépit de

 par-dessus

 afin de

 au-dehors de

 de chez

 en face de

 par-devant

 à fleur de

 au-delà de

 de crainte de

 en faveur de

 par-devers

 à force de

 au-dessous de

 de delà

 en raison de

 par manque de

 à l'abri de

 au-dessus de

 de derrière

 ensuite de

 par rapport à

 à la faveur de

 au-devant de

 de dessous

 en sus de

 près de

 à la merci de

 au haut de

 de dessus

 en travers de

 proche de

 à la mode de

 au lieu de

 de devant

 etant donné

 quant à

 à l'égard de

 au milieu de

 de façon à

 face à

 quitte à

 à l'encontre de

 au péril de

 de manière à

 faute à

 sauf à

 à l'envi de

 auprès de

 d'entre

 grâce à

 vis-à-vis

 à l'exception de

 au prix de

 de par

 hors de

 

 à l'exclusion de

 autour de

 de peur de

 jusqu'à...

 

 à l'insu de

 au travers de

 du côté de

 loin de

 

 à moins de

 aux dépens de

 en bas de

 manque de

 

 à raison de

 aux environs de

 en comparaison de

 par dedans

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 10:52

MANIERE : bien, comme, mal, volontiers, À bras-le-corps, à califourchon, à la légère, à la va-comme-je-te-pousse, à la va-vite, à l'aveuglette, à loisir, à nouveau, à tire-d'aile, à tire-larigot, à tort, à tue-tête, admirablement, ainsi, aussi, bel et bien, bon marché, comment, comme, d'arrache-pied, de guingois, debout, également, ensemble, exprès, mal, mieux, n'importe comment, pis, plutôt, pour de bon, presque, tant bien que mal, vite,...

 

LIEU : ici, ailleurs, alentour, après, arrière, autour, avant, dedans, dehors, derrière, dessous, devant, là, loin, où, partout, près, y, ...

 

TEMPS : quelquefois, parfois, autrefois (à distinguer de d'autres fois), sitôt, bientôt, aussitôt, tantôt, alors, après, ensuite, enfin, d'abord, tout à coup, premièrement, soudain, aujourd'hui, demain, hier, auparavant, avant,  cependant, déjà, demain, depuis, désormais, enfin, ensuite, jadis, jamais, maintenant, puis, quand, souvent, sur ces entrefaites, toujours, tard, tôt, tout à coup, tout de suite,...

 

QUANTITE : quasi, davantage, plus, moins, ainsi, assez, aussi, autant, beaucoup, combien, encore, environ, fort, guère, presque, peu, si, tant ; tellement, tout, très, trop, un peu, etc.

 

LIAISON : ainsi, aussi, pourtant, néanmoins, toutefois, cependant, en effet, puis, ensuite... c'est pourquoi, par ailleurs, d'ailleurs, de plus,  enfin de compte, par conséquent...

 

AFFIRMATION : Assurément, certainement, certes, oui, peut-être, précisément, probablement, sans doute, volontiers, vraiment,...

 

NEGATION : Ne […] guère, ne […] jamais, ne […] pas, ne […] plus, ne […] point, ne […] rien, non,...

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 10:49

Remarques

La proposition participiale

La participiale est une proposition subordonnée. Elle n'est introduite par aucun mot subordonnant :

Le travail achevé, ils partirent en vacances.

La participiale (ou proposition participe) a un verbe au participe présent ou passé qui possède un sujet propre. Ce sujet ne peut occuper la même fonction, vis-à-vis d'aucun autre verbe dans la phrase.

Il ne faut pas confondre le participe, noyau d'une proposition, et le participe en apposition, celui-ci n'a pas de sujet propre, il joue un rôle d'adjectif.

Mon ami, trompé par l'obscurité, s'engagea sur le mauvais chemin.

Trompé par l'obscurité est ici une apposition au sujet du verbe principal, Mon ami sujet de s'engagea. Le participe n'a pas de sujet propre, et il n'y qu'une proposition, indépendante.

Mon ami trompé, le vendeur disparut dans la nature.

Il existe deux sujets, le vendeur qui disparaît et Mon ami qui a été trompé. Il y a donc deux propositions : une principale Le vendeur disparut dans la nature et une participiale Mon ami trompé.

La participiale joue un rôle de complément circonstanciel et peut introduire quatre nuances : le temps, la cause, la concession, la condition.

La proposition infinitive

L'infinitive peut être une proposition indépendante ou principale (si elle a sous sa dépendance une subordonnée). Elle n'est introduite par aucun mot subordonnant.

L'infinitive a un verbe à l' infinitif qui possède un sujet propre. Ce sujet ne peut occuper la même fonction, vis-à-vis d'aucun autre verbe dans la phrase.

Il ne faut pas confondre l'infinitif noyau d'une proposition et l'infinitif complément d'objet :

Il entend les oiseaux chanter.
Deux sujets "il" sujet de "entend" et "les oiseaux" sujet de "chanter" = deux propositions "Il entend" principale et "les oiseaux chanter" infinitive.

Il entend réussir à son examen.
Un seul sujet "il" sujet de "entend" une seule proposition, "réussir" = infinitif complément d'objet direct.

L'infinitive est une indépendante. Dans ce cas, le sujet de l'infinitif est très souvent absent, l'infinitif ayant alors un rôle proche de l' impératif.

Ne pas toucher, danger.
Ne pas dépasser la dose prescrite.

Elle exprime l'ordre ou la défense (Cf. les exemples ci-dessus), l'exclamation ou l'interrogation (Que faire? Toi, mentir pour si peu!), l'affirmation avec un infinitif de narration (Et tous de s'exclamer).

L'infinitive est une subordonnée. Elle est essentiellement COD.

L'infinitive en position de COD n'est introduite par aucun mot subordonnant. Il faut, bien entendu, que l'infinitif ait son sujet propre. Elle se trouve après des verbes de perception ou de sensation (sentir, voir, apercevoir, entendre, regarder, etc.); après des semi-auxiliaires (faire, laisser, etc.); après voici introduisant, la plupart du temps, "venir" (Voici venir l'hiver). Voir complétive infinitive.

 

 

 

Apposition (Substantif épithète)

L'apposition se présente le plus souvent comme un élément nominal placé dans la dépendance d'un autre élément nominal. L'élément dépendant a, vis-à-vis du nom principal, la relation qu'a un attribut avec son sujet ou une épithète avec le nom qu'il qualifie.

Ces deux relations donnent lieu à deux "types" d'appositions :

La France, pays des droits de l'homme, se doit de...
où "pays des droits de l'homme" désigne la France et peut se lier par "être".

Il a commandé des chèques repas.
Où "repas" apparaît comme un qualificatif de même type qu'un adjectif "des chèques périmés" ou "rouges". Certains grammairiens parlent alors de substantif épithète.

Ce dernier exemple illustre un procédé très productif à notre époque. La publicité et les médias l'utilisent largement.

Il donne souvent lieu à des emboîtements successifs et de l'élément principal dépendent parfois plusieurs éléments :

L'axe Paris-Berlin.
Le duel Mitterrand-Chirac.
Un conflit mère-fille.
La trilogie immigration-insécurité-chômage.

Dans ce type de construction, les mots dépendant de l'élément principal sont liés par des traits d'union.

Si l'apposition est donneuse d'accord c'est le premier élément qui est décisif.

Accord du nom en apposition : Lorsque l'accord peut se faire, il doit se faire (après tout les deux noms désignent la même réalité).

L'accord se fait quand l'apposition et son support sont des noms animés, et qu'ils ont tous deux un genre selon le sexe de l'être désigné.

Exemple : avec "père, mère, femme, homme". On écrira, bien évidemment, Son père, homme remarquable... et Sa mère, femme remarquable...

L'accord se fait encore lorsque l'apposition, animée et pouvant varier en genre, concerne un mot support inanimé.

Exemple : La mort, cette voleuse!

L'accord en nombre est la règle : Les villes, géantes aveugles,... Les hommes, barbares furieux,...

Lorsqu'une apposition est rapportée à deux supports elle se met habituellement au pluriel.

 

Explétif

Les mots "explétifs" ne jouent aucun rôle grammatical dans la phrase. Ils marquent une intention, une tournure. Ils sont facultatifs, même si l'usage, dans quelques tournures, les utilise généralement.

Les PRONOMS personnels, "ce", des prépositions, l'article dans "l'on", "en" et "y" dans certaines expressions peuvent être explétifs : 

C'est quelqu'un d'honnête.
Il
y
va de son honneur
Il
te
lui donne une de ses gifles.
Goûtez
-moi ça !

Mais le plus souvent, quand on parle de mot explétif c'est de l'adverbe de négation "ne" qu'il s'agit.

"Ne" est explétif lorsqu'il apparaît dans certaines subordonnées de sens positif (sans négation) :

- après les verbes de crainte (redouter, appréhender, craindre, etc.) on met habituellement un "ne" explétif (Je crains que votre ennemi ne revienne). On ne met pas "ne" si ces verbes sont pris négativement (Je ne crains pas que votre ennemi revienne).
- après "éviter que, empêcher que" on peut mettre "ne", son emploi est facultatif (Par son intervention, il a évité que vous ne vous blessiez ou que vous vous blessiez).
- après "défendre que" on ne met pas "ne" (Il a défendu que vous entriez et non que vous n'entriez).
- après "nier, disconvenir, désespérer, contester, douter, etc.", on met "ne" si ces verbes sont négatifs ou interrogatifs (Il ne doute pas qu'il ne vous rembourse). Mais on ne met pas "ne" s'ils sont utilisés affirmativement (Je doute qu'il vous rembourse).
- après "avant que" l'emploi de "ne" est facultatif (Avant qu'il parte ou Avant qu'il ne parte).
- après "à moins que" on met "ne" (Il partira à moins que vous ne lui parliez).
- après "sans que" on ne met pas "ne".

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 10:48

1)  Adjectif qualificatif, au sens de pareil, de semblable, de si grand :

-      tel père, tel fils...

-      telle est mon opinion...

 

Adjectif indéfini, placé devant un nom, sans article ; il désigne d'une façon très vague et s'emploie généralement au singulier :

-      telle ville me plaît davantage...

 

Remarque

« tel et tel », « tel ou tel », au singulier, veulent le nom qu'ils déterminent au singulier :

-      j'ai lu tel et tel livre...

-      de telle ou telle manière...

 

2) Pronom indéfini, il désigne alors une personne indéterminée :

-      tel est pris qui croyait prendre...

 

Remarques

Tel que s'accorde avec le nom qui précède :

-      les bêtes féroces telles que le tigre, le lion...

 

Si « tel » n'est pas suivi de « que », il s'accorde avec les noms qui suivent :

-      les bêtes féroces tels le tigre et le lion...

 

Tel quel, pronom signifiant « tel qu'il est », est variable (il est incorrect d'employer « tel que » à la place) :

-      accepter un colis tel quel...

-      laisser les choses telles quelles...

 

À ne pas confondre avec :

-      laisser les choses telles qu'elles sont...

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