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  • : OrthoPrep, préparation au concours d'orthophoniste
  • : Préparer le concours d'entrée en orthophonie n'est pas chose facile ! Vous allez devoir faire appel à toute votre volonté et toutes vos capacités de travail pour atteindre votre objectif. Vous trouverez sur ce site de quoi nourrir votre préparation. Prêt à réussir le concours ? ... Bonne visite !
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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 11:57

I)                  Admissibilité

 

- Un QCM de culture générale (50 questions, 40 points, 1h30) : ce qcm intègre des questions de voc, environ 20 % (repérer la bonne définition, reconnaître un synonyme, retrouver le nom d’une figure de style, débusquer des intrus, indiquer le genre d’un nom, repérer des termes masculins, féminins, reconnaître expressions).

 

- corriger un texte et répondre aux questions de grammaire qui suivent (20 points, 1h)

 

- analyser et commenter un texte (40 points, 3h)

 

 

II)              Admission

 

Il y a trois entretiens, deux individuels et un collectif.

 

L’un dure 10 min avec un psychiatre qui interroge le candidat sur sa famille, parcours scolaire, concours passés, résultats obtenus. Entretien non noté, résultat donné sous la forme de deux formules : « pas de problème » ou « problème » en cas de véritable pathologie psychiatrique.

L’autre entretien individuel, avec deux orthophonistes et un ORL est différent : le candidat doit commenter un texte. En fait, il y a trois textes en rapport avec l’orthophonie : le candidat en choisit un et doit s’en servir comme tremplin pour l’expression de ses réflexions et émotions. C’est un exercice avec environ 30 min de préparation. Le jury évalue l’ouverture d’esprit et l’aptitude à être un bon étudiant. Le commentaire est généralement suivi de questions sur les motivations du candidat, sa personne, sa famille.

L’oral de groupe rassemble six étudiants et consiste en un débat sur un sujet pas forcément en rapport avec l’orthophonie. Ce débat est jugé par un ou deux sociologues. Chaque étudiant a dix minutes pour préparer son intervention et peut prendre des notes. Au terme de la discussion (environ 30min), il est invité à écrire ses impressions sur l’épreuve.

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 11:32

I)                  Admissibilité

 

L’écrit comporte cinq épreuves :

 

- un QCM de langue française (20 questions, 10 points, 30 min) : en vocabulaire il est demandé de connaître le sens d’expressions (notamment latines), le genre des noms, le sens d’éléments venant du grec tels –miso ou –ophi-, d’accepter ou de refuser des couples masculin-féminin, des couples adjectif-nom, d’indiquer si les mots proposés sont antonymes, synonymes, de repérer des mots polysémiques, des mots issus de noms propres. En grammaire, il faut réviser principalement les déterminants, les pronoms, la conjugaison ainsi que les compléments de verbe et les prop subordonnées. Il est à noter que l’épreuve de grammaire assez difficile qui consistait à repérer telle ou telle forme dans une vingtaine de questions avec plusieurs items n’existe plus.

 

- une dictée (20 points, 45 min) : une relecture de 15 min environ. C’est une épreuve très difficile dans la mesure où on pourrait placer telle ou telle forme sans que la phrase soit « fausse », que des mots difficiles sont répétés tous le long de la dictée et que le barème et très lourd (jusqu’à -5 points pour les fautes grammaticales). La note éliminatoire étant 6, on arrive très vite sur la touche.

 

- un résumé et une discussion (20 points, 2h) : un texte est lu (2 ou 3 fois) et il faut en faire le résumé de tête. En 2011, nous avons eu droit à un texte sur la nécessité de filtrer l’info sur internet, et la dissertation demandait en gros les caractéristiques des systèmes de communication actuels.

 

- une explication d’un texte scientifique(20 points, 1h) : en 2011 nous avons eu droit à un petit texte en rapport sur l’actualité qui concernait l’homme de néanderthal. Le texte s’interrogeait sur nos liens avec cet ancêtre. Il y avait quelques notions de génétique et de phylogénétique. Les anciens de S, notamment de S spé svt étaient largement avantagés (l’explication consiste à répondre à quelques questions qui visent à cerner la compréhension du candidat).

 

 

II)              Admission   

 

L’oral dure 45 min. Elle consiste en un test de personnalité et des tests psychotechniques. Il y a deux entretiens. Le premier avec une orthophoniste (15 min) est plus technique : il est demandé de mâcher, de déglutir, d’articuler, d’écrire, de répéter des phrases, d’en compléter, de définir des mots, d’en trouver, d’en employer dans des phrases, de lire un texte à voix haute, de le résumer, de le commenter, de réciter un poème, de chanter une chanson, de raconter une histoire, un événement … Le second entretien (15 min) invite le candidat à se présenter, à présenter son parcours, à répondre des questions concernant sa préparation au concours, sa connaissance du métier, la façon dont il projette son avenir, les réactions qu’il serait susceptible d’avoir face à des patients lourdement atteints, etc.

 

 

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 10:29

I)                  Admissibilité

 

Il y a trois épreuves écrites, regroupées sous le nom d’ « évaluation quantitative des structures de communication écrite ».

 

- Un QCM de culture générale(45 min, sur 100 points)

 

- Une épreuve sur l’orthographe (30 min, sur 100 points) : une dictée en 2009, un QCM en 2010.

- une synthèse de texte (2h, 50 points)

 

Pour le voc : il n’y a pas eu de questions posées en 2010 (je ne sais pas pour 2011).

Pour l’orthographe : en 2010, l’épreuve habituelle de dictée a été remplacée par des textes (9 pages) de Proust, Zola, Chateaubriand et Balzac dont certaines phrases étaient orthographiées de quatre façons différentes.

 

A noter ! Le concours de Montpellier s’appuie explicitement sur les dictionnaires suivants : le petit Robert dictionnaire de la langue française (mai 2003), le petit Robert des noms propre (mai 2003, illustré), le Bescherelle : la conjugaison, l’orthographe et la grammaire (Hatier, janvier 2003) et le Grevisse : le bon usage (treizième édition, par André Goosse, DeBoeck Duculot, oct 2001). (Info trouvée dans les modalités détaillées du concours de 2011).

 

 

II)              Admission

 

L’oral dure environ 30 min et le jury est composé d’au moins trois examinateurs enseignant dans l’école (en 2010 ils étaient 4, voire 5). L’épreuve se déroule en deux temps.

D’abord, il y a une évaluation quantitative des structures de la communication orale (CO) : le candidat doit présenter un CV écrit détaillé avec une photo d’identité. Puis il lui est souvent demandé de se présenter, répondre à quelques questions et faire quelques exercices. On lui demande généralement son parcours, ses motivations, de répondre à des interrogations concernant son CV, les notions de santé et de soin. Les exercices sont souvent : lire à haute voix un texte aux lettres soudées puis en faire son résumé, trouver le plus de termes possibles finissant par une syllabe donnée, écrire une phrase contenant deux ou trois termes imposés, illustrer cette phrase par un dessin et la lire, construire une phrase à partir de trois vignettes de bande dessinée, lire une phrase écrite en phonétique et la réécrire correctement, raconter une histoire à deux publics différents ou imaginer ce qu’il verrait et dirait dans une situation qu’on lui présente. C’est cet entretien qui dure 30 min.

Ensuite, il y a une évaluation qualitative des aptitudes sensorielles, motrices (ASM) : il faut lire un texte, chanter des notes, boire un peu d’eau et déglutir. Il faut un certificat ORL, un autre établi par un ophtalmologue et un audiogramme.

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 10:05

I)                  Admissibilité

 

Cette première partie de l’épreuve a subi des modifications depuis 2009. Elle comprend toujours deux QCM mais, d’après le site des étudiants marseillais en orthophonie, il n’y a plus d’épreuve de résumé. N’ayant pas passé le concours de Marseille, je vous conseille de vérifier son contenu avec plus de précision.

 

- un QCM sur la maîtrise de la langue (90 questions) : orthographe, vocabulaire, grammaire et conjugaison. Le vocabulaire porte généralement sur l’identification de la (ou les) bonne définition de mots ou expressions (et inversement), les homonymes, les paronymes, l’étymologie, la prononciation et parfois la culture générale (par ex retrouver l’auteur d’une citation). L’orthographe concerne les homonymes verbaux, les phrases fautives (avec homonymes et paronymes), le redoublement des consonnes, les finales muettes, les signes diacritiques, (=orthographe lexicale), le genre et le nombre, l’accord du vb au participe passé, les adv en –ment, les homonymes grammaticaux… (= orthographe grammaticale). La grammaire porte généralement sur la nature et la fonction.

 

- un QCM sur les tests psychotechniques et la biologie (épreuve nouvelle) (90 questions).

 

Et dans les années précédentes, un résumé, parfois suivi d’un QCM.

 

 

II)              Admission

 

L’épreuve orale a changé en 2009. Les petits exercices habituels ont été remplacés par un entretien (environ 20 min) avec trois personnes (notamment le directeur de l’école). L’objectif était d’évaluer « la flexibilité du langage oral et de la motivation » mais, apparemment, les candidats ayant tenu des propos stéréotypés, la question des motivations a été délaissée. Désormais, l’oral prend en compte la réactivité et l’inventivité des candidats. Il est fait pour déstabiliser. Ainsi, si le candidat peut avoir à répondre à quelques questions classiques telles que « qui êtes-vous ? » ou « présentez-vous », il peut aussi être interrogé sur des thèmes comme la téléréalité, les livres électroniques, les piercings et les tatouages, le cinéma de Kubrick et Tarantino, le choix du prénom ou le port du foulard. Le candidat peut devoir se mettre dans la peau d’une commerciale devant convaincre le jury d’acheter un magazine d’orthophonie, de faire passer un entretien au jury, choisir un sujet et accepter d’être contredit sur tout ce qui sera dit, expliquer la différence entre le président, le premier ministre et les autres ministres à un immigré ne parlant pas bien français, expliquer facebook à une personne âgée, raconter un blague …

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 15:12

Voici un exemple de liste de mots que j'ai extraits d'exercices.

 

 

orthographe.gif orthographe-2.gif

 

 

 

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 14:12

En ce qui concerne le vocabulaire, je ne peux pas poster plus de fiches, car le gros de mon travail a été fait à la main ! Mais je peux vous donner des exemples qui pourront vous servir de pistes.

 

Il est possible que la résolution ne soit pas excellente pour la lecture de ces fiches. Et je m'exprime souvent dans un langage codé assez perso ^^ Mais l'essentiel est de saisir le p rincipes que je propose et de disposer d'un exemple "visuel".

 

Pour les expressions :

 

1) expressions.gif  2)  locutions.gif

 

 1) dans le vuibert voc, on trouve une liste d'expressions. Il faudrait les chercher une par une. (ça m'a pris presque 2 copies doubles)

 2) à Caen on a souvent un exercice demandant de retrouver des locutions. On trouve la liste dans le même vuibert.(j'ai gribouillé pas mal de pages qui m'ont, je dois l'avouer, été d'une faible utilité)

 

 

Pour le voc du type dico :

 

1) voc-dico.gif     2)  polysemie.gif

 

   3) difficultes.gif    4) classes.gif

 

 1) une page extraite de ma recherche des mots du dicos ('ai 3 à 7 pages recto verso par lettre)

 2) une recherche des mots polysémiques (que j'ai extraits d'une liste de mots à connaître d'un vuibert). C'est une recherche très importante et extrêmement utile qui prend à peu près autant de pages que celle du dico.

 3) les mots qui m'échappent à chaque fois (ici dans les A) : je pouvais ainsi visualiser dans un nombre limité de pages les mots essentiels.

 4) encore une "fiche de fiche" : je regroupais les mots qui m'embrouillaient car ayant des sens ou une orthographe proches. C'est un exemple de synthèse structurée qui permet d'être vraiment efficace dans son apprentissage.    

 

Voilà, à votre tour maintenant ! Surtout ne vous découragez pas devant l'ampleur du travail. Oui ce sera dur. Mais vous avez plusieurs mois devant vous et vous êtes mo-ti-vés !  

 

Et, en passant, il est certain que beaucoup de candidats admis n'en ont pas fait autant. Mais je trouve que ma méthode est bien structurée et qu'elle rassure car balaie vraiment l'ensemble du champ "voc" du concours.  

 

 

 

 

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 13:39

La grammaire est toute en logique ! Le tout est d’avoir une image mentale, une sorte d’arbre où chaque nature, chaque fonction a sa place (plus facile à dire qu'à faire ...)

 

Pistes de révision :

 

- la nature des mots.

 

Le plus : pour retenir les 10 classes de mots existantes, vous pouvez  retenir cette phrase assez amusante : Pépé va danser, yo ! (p, p, v, a, d, a, n, c, i, o)

 

Préposition (à, dans, par, pour, en, vers, avec, sans, sous. Mais il y en a bien d’autres !)

Pronom (il remplace le nom)

verbe,

adverbe (invariable, sauf  TOUT qu’on verra plus tard. Beaucoup, finement, longtemps…)

déterminant (il détermine le nom)

 adjectif qualificatif (beau, petit, laid)

nom,

conjonction (de coordination, entre deux propositions : mais, où, et, donc, or, ni, car / ou de subordination, qui introduit une proposition subordonnée : que, lorsque, afin que, parce que, de sorte que …)  

interjection (oh ! hélas !)

onomatopée (boum ! tic tac)

 

Attention, dans la catégorie « pronom » on a :

 

les pronoms personnels (sujet : je, tu, il… ou complément : me, te, se, nous, leur… ),

 possessifs (le mien, le vôtre…),

démonstratifs (ceci, celui-ci, ceux …),

indéfinis (personne, plusieurs, rien, aucun, chacun, le même, nul…),

relatifs (qui, que, quoi, dont, où, lequel),

interrogatifs (les mêmes que les relatifs sauf dont),

numéraux (les cardinaux => un, deux, trois et les ordinaux => le premier, le deuxième).

 

Pour les retenir, encore une petite phrase rigolote : Pépa dit rin ! (p, p, d, i , r, i, n).

 

Attention, dans la catégorie « déterminant » on a : les articles et les adjectifs (ces derniers ne sont pas à confondre avec les adj qualificatifs !).

 

Les articles peuvent être :

- définis (le, la, les) ou définis contractés (=fondu à une préposition : au=à le, du = de le …)

- indéfinis (un, une, des)

- partitifs (du, de la, des => pour les indénombrables : on mange du pain et non un pain)

Ne pas confondre : la fille du boulanger (art défini contracté) et : encore du fromage ? (partitif)

 

Les adjectifs peuvent être :

-numéraux (cardinaux ou ordinaux)

- indéfinis (aucun, autre, certain, chaque)

- démonstratif (ce, cette …)

- possessifs (mon, ton, son…)

- interrogatifs (quel, quelle…)

- exclamatif (quel, quelle…)

 

Pour retenir ces 6 catégories d’adjectifs : nid de pie (n, i, d, p, i, e)

 

Vous ferez particulièrement attention :

- à ne pas confondre adverbe et pronom : je ne veux rien ! (adv) Rien n’est possible (pronom)

- à ne pas confondre pronom et adjectif : aucune n’est venue ! (pronom indéfini) Aucune fille n’est venue (adj indéfini)

 - à ne pas confondre adverbe et préposition : je viendrai après (adv) Je viendrai après le déjeuner (préposition)

- à ne pas confondre ordinal (ordre) et cardinal (simple nombre)

- à ne pas confondre prEposition et prOposition

- à ne pas confondre adverbe et adjectif qualificatif : il a le poil dru (adj qual) Il pleut dru (adv) eh oui les mots ont plusieurs natures !

- il n’existe pas de pronom exclamatif

 

Difficultés éventuelles :

- comme est conjonction de subordination dans le sens de « de même que » et adverbe quand il a le sens de « très » ou « comment ».

- quand n’est adverbe de temps que dans les interrogatives (il est donc conjonction de sub la plupart du temps)

 

 

- la fonction des mots

 

- le complément d’objet (direct, indirect, d’objet second)

 

Attention ! Dans la phrase « laisse-moi faire », moi n’est pas COD. C’est « moi faire » qui est COD.

 

- le complément d’agent (la chanson est interprétée par une jeune artiste)

 

- le complément circonstanciel (de temps, de but, de cause, de conséquence, de concession, de condition …)

 

- le complément du nom  (la maison du voisin)

 

Attention ! Dans « la ville de Paris », Paris n’est pas CDN, il est apposition.

 

N’oublions pas le complément du pronom (qui d’entre nous…), de l’adjectif (fier de toi), de l’adv (beaucoup de bruit)

 

- l’attribut du sujet (il est beau) ou du COD (je le trouve sympathique)

 

- l’apposition (riche, célèbre, la princesse se sent seule. La ville de Paris).

 

- l’apostrophe (Félix !)

 

- le sujet

 

-  l’épithète (un bel homme)

 

Vous ferez particulièrement attention :

- jamais de COD après l’auxiliaire être

- le complément d’agent est parfois introduit par de (il est aimé de ses parents)

 

 

- les propositions

 

- la prop indépendante (un sujet parfois, un verbe, parfois un complément).

=> il fait beau.

=> mange !

 

- les prop indépendantes coordonnées

=> il fait beau mais les nuages pointent leur nez : coordination

=> il fait beau, je suis content : juxtaposition

 

- la prop principale, chef de subordonnées wagons.

=> je vois le ciel qui se couvre

 

- la prop subordonnée relative (complète un nom ou pronom)

=> je vois le ciel qui se couvre

=> qui m’aime, me suive ! (l’antécédent "celui" est absent)

 

- les prop subordonnées conjonctives complétives (complètent verbe)

=> la conjonctive sujet : introduite par que et en tête de phrase (que tu l’ignores ne m’étonne pas)

=> la conjonctive attribut : après vb d’état (le risque est qu’il pleuve)

=> la conjonctive apposition : vous le saviez, vous, qu’il pleuvrait ?

=> la conjonctive COD ou COI : je vois qu’il pleut (COD), je veille à ce que tu prennes ton parapluie (COI)

=> la conjonctive CDN : la crainte qu’il y ait de l’orage

 

- les prop subordonnées conjonctives circonstancielles

=> de temps : introduite par quand, lorsque, dès que…

=> de but : introduite par des locutions conjonctives (pour que, afin que …)

=> de cause : parce que, puisque, étant donné que, vu que …

=> de condition : si, à condition que, pour peu que …

=> de comparaison :   aussi…que, d’autant plus que …

 

- la prop subordonnée interrogative

=> je voudrais bien savoir qui avait prévu le soleil.

 

- la prop subordonnée infinitive  (vb à l’infinitif. Le sujet de vb est le COD de la prop principale)

=> je regarde les lapins voler dans les rafales de vent dans mon jardin.

 

- la prop subordonnée participiale (vb est un participe avec un sujet propre différent de celui de la principale)

=> le vent ayant soufflé très fort, tous mes lapins ont disparu

 

- la prop nominale

=> la terreur soudaine de mes lapins.

 

- autres prop

=> adverbiale : étonnant !

 

Vous ferez particulièrement attention :

- je vais où je veux  / la maison où il habite (première phrase : où est adverbe, deuxième phrase : où est pronom relatif introduisant une prop subordonnée relative).

- je veille à ce que tu fais / je veille à ce que tu fasses ton travail (seule la 2e phrase contient une prop conjonctive complétive COI. Dans la 2e phrase, le ce ne veut "rien" dire alors que ds la 1ère il êut signigier "devoirs", "ménage")

- les lapins ayant disparu, je compte en acheter d’autres / ayant perdu mes précieux lapins, je me sens démunie (seule la 1ère phrase contient une subordonnée participiale, car le sujet est différent de celui de la principale)

- la peur qu'il y ait une tornade / Les dégâts que susciterait la tornade seraient terribles (seule la première phrase contient une prop sub conjonctive CDN. La 2e contient une sub relative). On voit bien que dans la 1ere phrase le que ne représente "rien" alors que dans la 2e il est COD : la tornade susciterait des dégâts.

 

 

 

- faire une recherche pointue et complète sur les différentes natures de TOUT (et savoir orthographier les expressions avec tout) et QUELQUE

 

 

 

- chercher la déf d’un explétif

 

 

 

- constituer une liste d’adv et de prépositions

 

 

 

 

 

 

 

 

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 12:28

La conjugaison est peut-être la partie la moins ardue à travailler dans la mesure où, malgré quelques exceptions tenaces, les règles sont assez logiques. 

 

Pistes de révision : 

 

- les formes conjuguées du verbe : la différence entre radical (porteur du sens spécifique), désinence (terminaison), et auxiliaire.

 

- les notions de temps, de mode (l’indicatif, le subjonctif, le conditionnel et l’impératif sont des modes, le présent, l’imparfait,  le passé composé, le passé simple, le passé antérieur, le plus-que-parfait, le futur, le futur antérieur sont des temps)

 

- les notions suivantes : valeur temporelle, valeur aspectuelle (aspect accompli, non accompli, borné, non borné), valeur modale (tous les tps de l’indicatif peuvent prendre des valeurs subjectives et ne pas seulement présenter le procès (=l’action) comme réel. Par ex, l’imparfait peut donner un fait futur comme exclu de l’avenir du locuteur : il y avait une fête dimanche prochain, mais je dois travailler).

 

- les terminaisons « normales » de chaque temps à chaque mode

 

- maîtriser AVOIR et ETRE à tous les temps

 

- la concordance des temps

 

- les aspects du verbe (c’est un plus large sens que la valeur aspectuelle)

 

L’accompli (achevé, conclusif, télique) : j’ai écrit

L’inaccompli (inachevé, atélique) : j’écris

L’itératif (se répète) : il buvote

 

L’instantané (momentané, non sécant, global) : Jean sortit (action ponctuelle)

Le duratif (sécant) : Jean sortait (action dans son déroulement)

 

Le perfectif (le processus ne sera réalisé qu’à son terme) : Il atteint la lisière du bois

L’imperfectif (processus réalisé qd il est commence) : il chante

 

L’inchoatif (l’action commence) : il rougit

Le cessatif (l’action s’achève) : elle finit de travailler

 

L’imminent (l’action va bientôt se produire) : elle va partir

Le récent (l’action vient de s’achever) : elle vient de partir

 

Le factif (causatif) : le maire bâtit un centre urbain (le sujet fait faire l’action)

Le projectif (indique la notion de projet) : il viendra dès qu’il pourra. Vive la France (vive est du subjonctif, n’oublions pas)

 

- les verbes en ELER et ETER

 

=> tous les verbes en ELER  redoublent le L sauf agneler, celer, ciseler, congeler, déceler, démanteler, écarteler, harceler, marteler, modeler, peler, receler (ex : il agnèle)

 

=> tous les verbes en ETER redoublent le T sauf acheter, bégueter, caqueter, corseter, crocheter, duveter, fileter, fureter, haleter (ex : il béguète)

 

- l’accord du participe passé et les verbes pronominaux (c’est difficile, peut-être que je posterai une fiche) et les cas particuliers (du genre ci-annexé, étant-donné …)

 

- les verbes difficiles : absoudre, asseoir, conclure, inclure, croître, accroître, dissoudre, émouvoir, fuir, haïr, pourvoir, résoudre, gésir, arguer, bouillir, bruire, céder, clore, connaître, craindre, courir, créer, distraire, employer, essuyer, foutre, interpeller, joindre, maudire, médire, mourir, naître, ouïr, prévaloir, repaître, saillir, cueillir, seoir, vaincre, vêtir, acquérir (soi-disant en passant, on écrit aqueux sans C) et surseoir.   

 

Pour ces verbes, faites attention aux accents, aux E muets, aux lettres qui changent, aux faux amis (je pourvoirai et non je « pourverrai »), aux formes doubles, aux lettres qui se dédoublent et aux temps qui n’ont pas de formes (eh oui, traire n’a pas de passé simple).

Faire bien attention à tous les verbes qui finissent en « seoir » et en « voir » (et « ure » pendant que vous y êtes). Attention à ceindre et cintre.

 

- les couples trompeurs : affermir/affirmer, aller/allier, battre/bâtir, choir/choyer, confire/confier, couder/coudre, croire/croître, peigner/peindre, teindre/tenir, dorer/dormir, échoir/échouer, être/suivre, faillir/falloir, fleurer/fleurir, lier/lire, mettre/mimer, moudre/mouler, plaire/pleuvoir, couvrir/recouvrer, ressortir (sortir à nouveau)/ressortir (être du ressort de). Faites un tableau comparatif pour les formes qui se ressemblent.

 

- les accords des verbes : pl ou sg ? (genre la plupart de, moins de deux, etc…)

 

- faire la différence entre gérondif, participe présent et adjectif verbal (attention aux expressions du genre « à mon corps défendant », « tambour battant » qui mine de rien sont de vieux gérondifs récalcitrants).  

 

Si après tous ça vous avez l’impression de ne plus rien savoir, c’est normal. Et juste passager ^^ 

 

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 10:19
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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 10:17

Quelques sports

Baseball 

- Deux équipes de neuf joueurs.

- Pas de durée limite pour un match de baseball. Normalement, une partie est disputée sur neuf manches

Basketball

- Deux équipes de cinq joueurs

- Le panier est situé à 3.05 m du sol pour les adultes

- Le championnat du monde est organisé tous les quatre ans par la FIBA

- Le championnat le plus connu dans le monde est la National Basketball Association (NBA)

Football

- Deux équipes de onze joueurs

- Un terrain rectangulaire de 90 à 120 mètres de long sur 45 à 90 mètres de large

- Un match de football dure 90 minutes, divisées en 2 mi-temps de 45 minutes entre lesquelles les joueurs se reposent 15 minutes. Le coup d'envoi est donné dans le rond central du terrain qui a un diamètre de 18,30 mètres.

Rugby

- Deux équipes de quinze joueurs

- Une partie dure au maximum 90 minutes plus le temps perdu, les prolongations et les conditions spéciales éventuelles.

Volleyball

- Deux équipes de six joueurs

- Un terrain rectangulaire de 18 mètres de long sur 9 mètres de large

Handball

- Deux équipes de sept joueurs

- un terrain rectangulaire (dimensions : 20 mètres par 40 mètres)

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