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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 10:49


« Jeter le bébé avec l'eau du bain  » : Perdre de vue l'essentiel. / Se débarrasser d'une chose pourtant importante dans le but d'éliminer avec les ennuis ou contraintes qu'elle implique.

 


« Tirer le diable par la queue  » : Vivre avec des ressources insuffisantes. / avoir des difficultés à subvenir à ses besoins.

 


« Avoir la bride sur le cou / Lâcher la bride à quelqu'un  » : Être libre de faire ce qu'on veut / Laisser quelqu'un libre d'agir ou de s'exprimer

 


« A bride abattue » : Sans aucune retenue / Très rapidement, à toute vitesse

 


« Danser devant le buffet  » : N'avoir rien à manger.

 


« Faire le coup du père François » : Prendre en traître / Utiliser une manœuvre déloyale

 


« Une guerrepicrocholine » : Un conflit entre personnes ou institutions, déclenché pour des raisons obscures ou ridicules

 


« Prendreune veste » : Subir un échec

 


« A bon escient » : De manière appropriée / En étant au courant de la situation

 


« A l'usage du dauphin » : se dit d'un texte
- expurgé de ce qui pourrait choquer le public auquel il est destiné ;
- adapté pour les besoins d'une cause.

 


« Jeter son dévolu » : Faire un choix définitif / Décider d'obtenir

 


« Avalerdes poires d'angoisse » : Subir des traitements cruels / Vivre des situations très désagréables

 


« Une cour des miracles » : Un repaire de mendiants et de voleurs / un lieu mal famé ou sordide

 


« Avoir (quelqu'un) à la caille » : Détester, haïr

 


« L'âne frottel'âne » : Les sots se complimentent mutuellement

 


« Au débotté » : Au moment où on arrive / À l'improviste

 


« Porterle chapeau » : Avoir mauvaise réputation. / Être considéré comme responsable d'une faute, coupable d'un délit.

 

Au violon : En prison.

Avaler (ou manger) la grenouille : S’approprier un compte joint.

Avec ceinture et bretelles : prendre un luxe de précautions. ne vouloir prendre aucun risque.

s'amarrer à couple : s’amarrer flanc à flanc pour bateaux

 

La caque sent toujours le hareng : on garde tjrs en soi la trace de ses origines ou de ses fréquentations.

Faire porter le chapeau à quelqu’un : Faire porter la responsabilité d’une erreurà une autre personne, pour éviterd’avoir à la prendresoi-même.

changer son cheval borgne pour un aveugle : Changer, par méprise, une chose défectueuse contre une autre plus défectueuse encore.

un chevalier d’industrie : Un affairiste, un escroc / Un individu qui vit d'expédients

être d’un commerce agréable : être agréable en société

Le denier du culte : contribution volontaire des fidèles, en France, en Belgique et en Suisse, en faveur de l'Église catholique romaine. Depuis 1989, on l'appelle en France denier de l'Église, bien que l'ancienne appellation soit encore d'usage courant.

Il vaut mieux avoir affaire à Dieu qu'à ses saints, il vaut mieux s'adresser directement au maitre qu'aux subalternes.

être entre le marteau et l’enclume : être menacé par deux partisen conflit, se trouver entre deux partis, entre deux personnes qui ont des intérêtscontraires.

aller sur les erres de quelqu'un : tenir la même conduite que lui, l'imiter.

 

Tempête sous un crâne. Conflit intérieur où la conscience se débat, en proie à des pensées ou à des désirs contradictoires

faire des ronds de jambe : Se montrer très attentif et obséquieux, voire servile

faire pièce à quelqu’un : le contrecarrermalignement/ lui faire malice, le tromper

se mettre du côté du manche : se mettre du côté du plus fort, du plus puissant, de ceux qui réussissent

à tout seigneur tout honneur : Chacun doit recevoir les biens et les honneurs qui correspondent à son rang, sa valeur, ses fonctions, etc.

charité bien ordonnée commence par soi-même : Il faut penser à soi avant de s’occuper des autres. Ce proverbe est aussi utilisé face à une critique de son interlocuteur. Il signifie alors qu’il faut s’occuper de ses propres défauts avant de critiquer ceux des autres.

contentement passe richesse : Le bonheur, la satisfaction morale ont plus de valeur que la fortune.

déshabiller Saint-Pierre pour habiller Saint-Paul : Résoudreun problèmeen en aggravantun autre. Payer une dette en en contractant une autre.

erreur n’est pas compte : Une erreur n'est pas forcément définitive, il est toujours possible de changer son opinion /  Une imperfection, si légère soit-elle, empêche un compte d’être correct. Par extension, ce proverbe peut signifier qu’il n’y a pas d’à-peu-près : une chose, un propos est juste ou faux.

la fête passée, on oublie le saint : on oublie facilement ce qui vous a procuré quelque plaisir, quelque avantage

prêcher pour son saint : louer, vanter une personne, une chose dans des vues d’intérêt personnel

l’habitude est une seconde nature : Les habitudes fortement ancrées dans notre comportement déterminent nos actions avec autant de force que les lois de la nature.

 

il faut que jeunesse se passe : Il faut être indulgent face aux défauts de la jeunesse. On ne peut en effet lui reprocher ses frasques et ses excès dus à son inexpérience.

 

il faut rendre à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui est à Dieu :  Chaque acte, chaque responsabilité, doit être attribuée à son auteur. Chacun doit être reconnu pour ce qu’il a fait. A l’origine le proverbe s'applique aux biens.

il vaut mieux tenir que courir : la possession vaut mieux que l’espérance

à chaque jour suffit sa peine : supportons les maux d’aujourd’hui sans penser par avance à ceux que peut nous préserver l’avenir

la faim chasse le loup hors du bois : la nécessité contraint les hommes à faire des ch qui ne sont pas de leur goût

mauvaise herbe croît toujours : se dit par plaisanterie des enfants qui grandissent bcp

petite pluie abat grd vent : Il suffit parfois de peu pour mettre fin à un conflit entre deux personnes.

la pluie du matin réjouit le pèlerin : la pluie du matin est souvent synonyme de beau tps

qui veut la fin veut les moyens : Pour parvenir à un objectif, il faut accepter de s’en donner les moyens. Et ce, même si ces moyens sont avilissants, immoraux ou peu nobles.

 

Abondance de biens ne nuit pas : on accepte encore, par mesure de prévoyance, une chose dont on a déjà une quantité suffisante.

L'argent est un bon serviteur et un mauvais maître : l'argent contribue au bonheur de celui qui sait l'employer, et fait le malheur de celui qui se laisse dominer par l'avarice ou la cupidité.


A vieille mule, frein doré : on pare une vieille bête pour la mieux vendre ; se dit aussi de vieilles femmes qui abusent des artifices de la toilette.


Les beaux esprits se rencontrent : se dit plaisamment lorsqu'une même idée, une même pensée, une même vérité est énoncée simultanément par deux personnes.


Bon chien chasse de race : on hérite généralement des qualités de sa famille.

C'est le ton qui fait la chanson : c'est la manière dont on dit les choses qui marque l'intention véritable.


Chacun pour soi et Dieu pour tous : laissons à Dieu le soin de s'occuper des autres.

Comparaison n'est pas raison, une comparaison ne prouve rien.

Entre l'arbre et l'écorce il ne faut pas mettre le doigt, il ne faut point intervenir dans une dispute entre proches.

Fais ce que dois, advienne que pourra, fais ton devoir, sans t'inquiéter de ce qui en pourra résulter.

La fortune vient en dormant, le plus sûr moyen de s'enrichir est d'attendre passivement un heureux coup du sort.

Il vaut mieux aller au moulin qu'au médecin, maladie coûte plus cher encore que dépense pour la nourriture.


L'intention vaut le fait, l'intention compte comme si elle avait été mise à exécution.

Nécessité fait loi, dans un besoin ou un péril extrême, on peut se soustraire à toutes les obligations conventionnelles.


L'occasion fait le larron, l'occasion fait faire des choses répréhensibles auxquelles on n'aurait pas songé.

Pierre qui roule n'amasse pas mousse, on ne s'enrichit pas en changeant souvent d'état, de pays.

Un clou chasse l'autre, se dit en parlant de personnes ou de choses qui succèdent à d'autres et les font oublier.

Un mauvais arrangement vaut mieux qu'un bon procès, s'entendre, à quelque condition que ce soit, vaut mieux que plaider.


qui se sent morveux qu’il se mouche : Que ceux qui reconnaissent en eux le défaut, le tort dont on parle, s'appliquent ce qu'on en dit, si bon leur semble.

 

Il vaut mieux laisser son enfant morveux que de lui arracher le nez, Il est sage de tolérer un petit mal, lorsqu'on risque, en voulant y remédier, d'en causer un plus grand.

 

 Mettre les quatre doigts et le pouce : se servir de façon impolie à table / manquer de délicatesse et de ménagement; agir carrément, sans hésiter.

 

 Se battre les flancs pour quelque chose, s'agiter, se donner beaucoup de mouvement sans succès, métaphore prise du lion qui se bat les flancs de sa queue quand il est irrité.

 

Un coup de Trafalgar : désastre inattendu / action risquée et fulgurante dt le succès dépendra de l’effet de surprise / mauvaise plaisanterie

 

Un maître Jacques : personne qui s’occupe de plusieurs emplois à la fois.

 

Se retirer sur l’Aventin : se retirer, renoncer à poursuivre une négociation

 

Rester en carafe : rester court (en parlant d’un orateur) / rester en plan

 

Prendre des vessies pour des lanternes : croire un mensonge plutôt qu’un autre / être trompé lourdement et naïvement / se faire avoir

 

Etre marron : être attrapé, être fait / être dupé, être refait / être chocolat

 

Un pygmalion : agent ou manager d’un artiste qu’il a pris sous sa protection

 

Eprouver une joie de Marsal : éprouver une joie de courte durée

 

Manger des ortolans : manger des mets coûteux et raffinés

 

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